Delenda Yahoota Lubmilla Istvanskaya!

Publié le par Luna Twist

Delenda Yahoota Lubmilla Istvanskaya!
Lol!
Connais rin au latin!
Pourquoi arrêter?
Ana habibi Ayoub.
(ça, c'est censé être de l'arabe, par contre!)
Bon, je vais pas vous faire de trop grands salamalecs,
parce que, et bien, j'sais pas trop
si je vais pouvoir vous dire en un blog
tout ce que je pourrais et devrais dire en 50.
D'abord, j'ai pô plus envie que ça d'arrêter,
mais y a rien à faire,
je me disperse
et passe à côté de ce que je crois être l'essentiel dans ma vie.
Tous ceux et celles qui ont déjà voulu le faire, le savent:
mettre le point d'orgue à une yahoo story,
c'est comme,
si pas pire,
d'arrêter de fumer.
On sait très bien tout ce qui ne nous convient pas là-dedans,
mais c'est une vraie drogue.
Par exemple: le meilleur dans mon cas!
Les blogs.
Quand pendant 2 ou même 3 ans,
j'ai concocté mon livre,
j'ai fait ça dans la plus grande solitude.
Et cela ne m'a pas pesé.
Maintenant, merdicus, je suis intoxiquée à vos commentaires.
Et il me faut une volonté
-qui a vraiment l'air en ballade je ne sais où-
pour m'y mettre.
Alors, je dirais:
Bienheureuse, je suis,
que la prunelle de mes yeux,
me demande cette chose impossible
et qui a l'air si déraisonnable à nos yeux:
Choisir entre lui ou le net.
C'est très fou, parce que en choisissant pour lui,
il faut que vous sachiez que je choisis pour moi.
J'en étais toujours là,
hésitant, hésitant,
après la dernière rupture,
faut comprendre,
promenant les chiens, le soir, dans les champs,
pleurnichotant, parce que mon grand amour,
à ma dernière connexion:
je le voyais,
il était là, en ligne,
mais rien, pas un mot qu'il m'a mis....
J'suis sûre que certaines connaissent le feeling...
Et donc, cahin, caha,
je poursuivais ma petite discussion avec l'ange Gabriel
- la carte que j'avais tirée pour m'orienter définitivement-
puisqu'avant cela, j'avais discuté ferme
avec je ne sais trop lequel...
Anges ou démons, allez savoir!
Parce que oui,
même Lucifer a de bonnes idées, figurez-vous,
le tout est de savoir qu'elles viennent de lui
pour les replacer dans le vrai contexte..
Et je venais à peine,
après bien des palabres, je l'admets,
de lui dire, à ce cher Gabriel,
qui lui a tout de même la réputation d'un BON ange:
"Oui, je lâche le net.
Oui, je tourne la page.
Tu as raison, je l'ai tournée aussi pour Glasgow...
Et bien d'autres pages avant,
et, oui, je suis toujours là, plus vivante que jamais!
Oui, d'accord, je la voulais cette relation.
Oui, oui, oui et encore oui:
c'est lui.
Ce sont mes livres.
Oui, au lieu d'écrire à mes amies,
je peux faire un journal sous forme de "Lettre à...."
Oui, je suis accroc.
Oui, tu as raison, tout ce que j'ai écrit dans ces blogs,
toutes les réponses que j'ai reçues,
oui tout ça est dans ma tête.
Et je peux tout bazarder,
sans regret, sans melo
(quoique...
Mais non!
Faut faire le vide, pour que cela se remplisse à nouveau,
ma bonne dame!)
Oui, je l'aimeuuuuuuuuuuuu.
Mais, dis-moi, Gabriel?
Va-t-il seulement téléphoner?"
"Oui, bien sûr."
"Dans une semaine?
J'espère bien que non.
Mais je crois que cette fois-ci...
Tu ne crois pas?
Il avait vraiment l'air à bout, tu sais...
N'est-ce pas trop tard?
Pourquoi m'a-t-il fallu tant de temps pour comprendre
que oui, dans son cas (autisme),
et vu de son point de vue
( là, je tâtonnais dans le noir, je l'avoue),
il a eu beaucoup de patience..."
( Mais force est de vous dire,
qu'après ce qu'il m'a dit le soir,
j'étais très loin du compte,
j'avais juste vu la pointe de l'iceberg,
parce que cette histoire de sa patience
est beaucoup plus profonde que je croyais.
Même si je dois encore m'habituer à l'idée
que dans notre histoire,
il a fait autant de concessions que moi...
si pas d'avantage!)
Tous ces "oui" ne sont pas forcément dans le bon ordre, d'accord?
Et à la seconde même où le dernier "oui"
était clairement énoncé dans la tête,
mon mobile, que les anges m'avaient dit d'emporter,
ce que je fais rarement quand je sors les chiens,
là, en plein sur le chemin de terre,
s'est mis à sonner.
Et cela ne pouvait être que lui.
Et là, entre autre, je lui ai promis de tout arrêter.
Le soir, épuisé par toutes sortes de choses,
il m'a dit que ce n'était pas, plus, nécessaire.
Moi, je sais que si.
Mais je pense que,
bien que je le lui ai dit,
il ne réalise pas
que j'ai toujours ces sites yahoo qu'il abhorre.
(Il les voit comme des machines à rencontres.)
Il avait été d'accord que je garde des blogs écritures
parce que je pense qu'il sait
à quel point écrire, est important pour moi..
Et que j'en ai d'autres ailleurs, pour tester mes photos.
Que je veux éditer en cartes postales.
Mais je ne suis jamais revenue là-dessus,
vous pensez bien,
comme l'alcoolique qui cache sa bouteille,
je vous gardais bien au chaud ici...
Voilà, fin de la première partie.
Au départ, je voulais surtout faire ce blog
comme un appel à la solidarité entre vous, mes amies.
Si je pars le coeur pas trop lourd,
c'est que je sais que la plupart d'entre-vous,
pour ne pas dire toutes,
vous avez d'autres amies sur qui vous pouvez compter.
Contrairement où dans la vraie vie,
j'ai souvent été la seule amie de femmes
qui n'aurait jamais pu s'entendre entre elles.
C'est d'ailleurs cet aspect-là du net
qui est le plus riche et le plus merveilleux.
Vous savez, je suis loin de cracher sur le net.
J'y ai rencontré des femmes merveilleuses
parce que tellement humaines,
tellement sincères,
tellement aimantes...
Des femmes qui se cherchaient,
qui parlaient d'amour,
de leurs blessures et leurs tourments...
Des femmes qui s'encourageaient et s'épaulaient mutuellement.
Elles ne sont pas toutes ici, malheureusement.
Je dois dire qu'à quelques exceptions près,
les hommes sur le net, ne font vraiment pas le poids.
Je vais pourtant dire ici
merci à quelques uns de ceux-ci...
D'abord, Francisco,
le jeune Portugais avec qui j'ai tant ri que j'en pleurais.
Et puis, John, le poète,
sans qui je serais restée sur Q &R, sans plus.
En trois phrases de mail,
lui qui était si malade
arrivait à décrire le monde de ses souffrances
tout en restant gentil.
Ou parfois incisif.
Et puis, Loïc, bien sûr,
il n'est pas ici,
mais Koko, si tu passes,
dis-lui que je ne l'ai pas oublié...
Dauphin a aussi été très gentil...
Et Yves et Youri,
Merci Yves, pour cet igloo aux Bahamas.
Et Youri, pour ton dernier blog...
Là, ce n'est pas parce qu'ils sont gentils,
mais parce qu'ils sont des êtres passionnés,
entiers, bien que très nuancés.
Je suis incapable de les suivre dans leurs démarches
à cause de mon autisme, notamment
- et qu'ils réfutent tous les deux-
mais je ne leur en veux pas.
Ici, je dois parler de Danielle...
Amie de Michel et des autres lascars cités plus haut!
Elle a de l'âge à revendre, et du coeur aussi.
Il y a eu Jean-mi et Frank: ah lala, Jean-mi!
Et tous mes très jeunes amis,
surtout des Américains et un Kiwi sur yahoo
et des Arabes sur skyrock.
Et puis, si cela vous surprend parfois de voir Dandy
dans mes amis, c'est que Dandy...
bon, je ne leur dis pas Dandy,
z'ont qu'à comprendre...
Et Vivien qui m'a entraînée à skyrock
et là, sans lui, pas de Habibi dans ma vie...
Faut que vous sachiez,
et que vous sachiez très bien...
sur le net,
je ne cherchais pas l'amour, ni même l'amitié.
Sur les sites, je testais mes écrits et mes dessins.
Mais au tout grand départ,
je faisais mon Sherlock pour retrouver une connaissance.
Il a un nom tellement banal, que...
tiens, je vais le taper sur google
et vous dire le nombre d'entrées à ce nom...
435.000 entrées en 0, 18 secondes...
ça, c'est avec google France...
google en anglais, c'était bien pire... dans le million.
Et c'est comme ça qu'un jour,
en cherchant un Néo-zélandais vivant en Australie
(que je n'ai jamais trouvé),
j'ai mis les pieds dans le plat de yahoo Australia
tout ça avec une adresse à Singapour.
Plus exotique, tu meurs.
Et puis John, le poète, aimant ce que j'écrivais,
en Anglais, encore bien...
m'a conseillé wordpress...
Et comme il était sur yahoo 360°, je l'ai suivi là aussi...
Yahoo, ma drogue ultime.
Ma cocaïne.
Maintenant, cela fait deux mois que j'essaye d'arrêter.
C'est vous dire.
Alors que j'ai un grand amour,
des dessins pleins des cartons et un autre ordi,
et des photos en veux-tu en voilà,
et même plus que ça.
Une maison en Belgique et un appart au Maroc
et puis plus de tunes...
Faut vraiment que je me remue, non?
Alors, vous l'avez bien compris,
non seulement, j'aime bloguer, mais je vous adore...
Bon, j'ai du oublier quelques personnes...
Christian, tu es là, parce que au départ tu es l'ami d'amies.
Et puis, un homme qui aime sa famille,
est discret, drôle et plein de talent
mais reste modeste, ça ne court pas les rues.
A Co ( bisous au Raphinou et à toi aussi)
et Flamenca (olé, à ma passion),
Gloria ( dans mon coeur, tu es et resteras)
et Naumi (vive ipernity, lol),
Pretty et Florence et toute leur bande
(mince, les filles, quelle soirée intense, cette fois-là!),
Craquotte, Koko et Coprah... (sur la pointe des pieds, pas vrai?)
Nahaima (t'es pas là, mais t'es là quand même)
et Boudufle (toi non plus, mais c'est du pareil au même)
et Anne-Marie (t'es fantastique avec tous tes projets, souviens-toi... haha!)
Haiku (la danse est la trame des choses)
et Green (la psychologie aussi)
et La Gitane Libanaise (et la poésie, bien entendu)
ça va faire un drôle de tapis!
Mélody et Teck et Tonka
(vous deux, mes belles sucrées,
vous me donnez des envies de chips,
de fromage, de saumon fumé,
c'est pas permis, ça, je veux maigrir, que diantre!)
et ELba ( où je me prends et perds au jeu des berges arides) et toute sa bande...
Pepites via Angelique
( ma chérie, prends toi aussi bien soin de toi...)
je vous entends, les autres...
Ma chérie?
Pourquoi, elle, et pas moi?
Vous êtes toutes mes chéries, mais elle vient d'avoir un bébé, alors, on se calme, hein?)
Chut! Claude-Huguette, continue tes merveilleuses peintures, ici ou ailleurs..
et pour finir à ma voisine": Anne m'Amie!
Là, c'est sans commentaire, puisque nous pourrions nous voir, si nous n'étions pas si à court de tunes, toutes les deux.
La Belgique, pays de Cocagne.
Ben, oui, mais faut savoir grimper au mat

Publié dans blog d'ailleurs

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